Description du projet
Objectifs
L’objectif de ce programme et de prévenir les atteintes à la vie et au logement des personnes et, en particulier, réduire la vulnérabilité des familles et des communautés face aux tempêtes et aux inondations qui peuvent endommager leurs logements et bâtiments communautaires. Cela permet de lutter contre les problèmes causés par les pertes économiques régulières et la pauvreté causées par les tempêtes et les inondations, en vue poser les bases du développement futur.
Contexte
Avec 44 millions de personnes (53 pour cent de sa population) vivant dans les basses terres côtières et les régions du delta, le Vietnam est le pays continental le plus exposé à l’élévation du niveau de la mer et aux risques qui y sont associés. Le Vietnam central ne fait que 50 à 100 kilomètres de large avec environ 500 kilomètres de côte directement exposés à la mer. Chaque année, le pays est touché par de nombreuses inondations et de nombreux cyclones, et tout porte à croire que le nombre de catastrophes ne fera que s’accroître, à cause du changement climatique et de l’intervention humaine directe (déforestation et urbanisation). La province de Thua Thiên Hué où le programme est mis en œuvre est une des provinces les plus exposées à ces catastrophes dans le pays, avec 60 à 70 pour cent de sa population totale menacée de perdre son logement et ses moyens de subsistance (principalement la pêche).
Deux groupes sont particulièrement menacés : les personnes en situation de précarité extrême qui vivent dans des conditions extrêmement vulnérables et les personnes qui ont investi dans l’amélioration de leurs logements mais sans appliquer les règles de base en matière de construction résistante aux tempêtes. Ces structures coûteuses sont facilement détruites, même si elles sont construites à partir de matériaux durables et engendrent des situations d’endettement pour les familles concernées. Les enquêtes de DWF démontrent que 70 pour cent des maisons récemment construites sont fragiles et exposées à des dégâts causés par des inondations ou des tempêtes. Le système d’aide humanitaire immédiate est bien organisé dans la région par le gouvernement et le nombre de décès a été considérablement réduit au cours de ces dernières années. Toutefois, après chaque catastrophe, des familles se retrouvent obligées de reconstruire leurs logements en utilisant leurs maigres ressources, avec peu de soutien du gouvernement.
Principales caractéristiques
L’activité au cœur du programme est l’encouragement des familles et des communautés à appliquer les dix principes clés des constructions résistantes aux tempêtes et aux inondations, tant pour les logements existants que pour les nouveaux logements et pour les bâtiments communautaires. Ces dix principes sont surtout génériques, concernant notamment la forme du bâtiment, son emplacement, l’inclinaison du toit, le renforcement de la structure, les portes refermables, les bonnes connexions entre les différents éléments de la structure et la plantation d’arbres. Les éléments les plus importants sont le maintien de la couverture de toiture sur le toit, le fait de pouvoir fermer la maison avec des portes et des fenêtres, et la recherche d’un degré de rigidité et de solidité dans les murs et dans leur structure. Les ménages sont invités à inclure ces éléments dans leurs projets de construction, même si les autres mesures ne sont pas inclues, que ce soit à cause de leur coût ou de leur apparence. Ces principes et techniques existaient déjà et étaient appliqués dans les logements traditionnels, mais disparaissaient progressivement à cause de l’apparition de matériaux plus « modernes ». Le programme a débuté en 2000 et est toujours en cours. Il devrait s’étendre à de nouvelles provinces du Vietnam central, et cela a commencé avec le soutien de la Croix-Rouge internationale et de la Croix-Rouge vietnamienne en 2010.
Les maisons de plus de 2.000 ménages à faibles revenus ont été renforcées directement dans le cadre du programme. Toutefois, étant donné la résistance de ces maisons aux inondations et typhons, de nombreux autres ménages de ces communautés locales optent pour ces principes de construction dans leurs propres logements. DWF travaille également avec des gouvernements locaux (couvrant chacun quatre à cinq villages) en vue de développer des plans d’action de cinq ans pour l’ensemble de la communauté, en renforçant les infrastructures publiques existantes et en construisant de nouvelles écoles et de nouveaux hôpitaux plus sûrs. Le programme vise également à sensibiliser la communauté sur les méthodes de prévention des dégâts liés aux inondations et aux tempêtes, et à renforcer les capacités des communautés locales afin de mettre en œuvre des actions efficaces et coordonnées en cas de catastrophe. L’accent est également placé sur la diffusion de messages relatifs à construction de logements sûrs et à la prévention des catastrophes, et cela se fait principalement à travers différents canaux comme des pièces de théâtre pour enfants et des concours de peinture. DWF travaille également avec des écoles pour former les enseignants sur la prévention des catastrophes et organise des ateliers avec des enfants, qui peuvent ensuite relayer les messages à leurs familles.
En résumé, les sept éléments clés du programme sont :
- Promouvoir des méthodes de renforcement des bâtiments.
- Renforcer les compétences en matière de méthodes de construction plus sûres, via la formation des constructeurs locaux.
- Placer l’accent sur la prévention des dégâts, via la sensibilisation des locaux par le bais du théâtre, des concerts, d’événements communautaires, etc.
- Promouvoir des crédits abordables pour le renforcement des logements.
- Construire des écoles en utilisant les méthodes recommandées résistantes aux catastrophes et former les enseignants et les enfants sur la prévention des catastrophes.
- Renforcer l’environnement institutionnel, via la mise en place de comités locaux de prévention des dégâts dans chaque communauté.
- Préparer des plans d’action locaux de prévention des dégâts en collaboration avec les communautés locales.
Couverture des coûts
Le financement de ce programme est couvert par des fonds internationaux, comme par le programme de préparation aux catastrophes du service de la Commission européenne à l’aide humanitaire (DIPECHO) de 2004 à 2009, ainsi que par des organisations locales et les ménages concernés. De 1999 à 2008, pas moins de 2.550.000 dollars ont été reçus sous forme de subventions, et 400.000 dollars ont été reçus dans le cadre de contributions locales. Les familles contribuent à hauteur d’environ 60 pour cent des coûts des travaux de renforcement de leurs maisons, et la contribution de DWF a été réduite. Les coûts de construction augmentent rapidement à cause de l’inflation et de la hausse des coûts énergétiques. Le coût actuel est de 60 à 75 dollars par mètre carré pour une maison.
Les contributions locales et communautaires sont définies après la réalisation d’enquêtes sur les bâtiments. Les estimations des coûts et les contributions du ménage, de l’autorité locale et de DWF sont consignées dans un contrat. Pour les travaux de renforcement, la main-d’œuvre est fournie par les ménages. Pour les nouvelles constructions, le ménage contribue également au niveau financier et au niveau des matériaux. Les organismes locaux de prêts jouent un rôle de plus en plus important pour fournir des crédits aux ménages en vue de leur permettre de financer ces activités.
Impact
Avant le programme DWF, les familles perdaient souvent une partie ou l’ensemble de leurs logements, et les coûts de reconstruction étaient particulièrement élevés, à la charge complète de ces familles. Le renforcement de leurs logements leur permet, en cas de catastrophe naturelle, de ne plus devoir reconstruire leurs logements et de consacrer leur budget à des activités plus productives. Ces familles commencent à améliorer leurs logements, car ceux-ci sont maintenant considérés comme des structures sûres et permanentes. Le nombre de personnes tuées et blessées lors d’inondations et de tempêtes a également été réduit grâce à ces nouveaux logements qui offrent une meilleure protection. Les plans d’action locaux de prévention des dégâts développés dans le cadre du programme bénéficient à tous les membres de la communauté et non uniquement aux personnes qui bénéficient d’une aide directe vie le renforcement de leur logement.
Le programme a contribué à modifier la perception provinciale et nationale du rôle pouvant être joué par les familles et les communes pour réduire la vulnérabilité en général et réduire les dégâts pour les maisons en particulier. Au niveau provincial, les politiques et stratégies ont été modifiées, via l’adoption des techniques et de l’approche promues par DWF. Le gouvernement provincial a élaboré une recommandation pour tous les quartiers et communes sur l’application de ces techniques. Cela s’est fait à la suite du passage du Typhon Xangsane en 2006, et la recommandation soulignait que les principes de DWF devaient être appliqués à tous les logements et bâtiments publics en vue d’éviter de nouveaux dégâts. Le travail est toujours en cours pour contrôler la mise en œuvre de cette recommandation.
Des formations sur des techniques sûres de construction ont été fournies à d’autres ONG travaillant au Vietnam. Le département provincial de la construction travaille sur l’approbation officielle et la diffusion des techniques de DWF ainsi que sur la publication d’un guide rédigé par le département sur la base du travail de DWF en vue de former son personnel sur les méthodes sûres de construction.
Les indicateurs de succès du programme sont :
- La capacité des maisons et bâtiments publics à résister aux effets des typhons et inondations. Une des preuves est que lorsque le Typhon Xangsane a frappé le pays en octobre 2006, causé des dégâts importants à 20.000 maisons et détruit le toit de 275.000 autres maisons dans les trois provinces centrales, les logements qui avaient été renforcés dans le cadre du programme DWF avaient résisté à ce typhon sans être endommagés. Dans les communes les plus affectées, pratiquement toutes les maisons qui n’avaient pas été renforcées par le programme ont été endommagées, alors que seuls cinq pour cent des maisons renforcées ont été quelque peu endommagées.
- La volonté des familles et communautés à contribuer financièrement à ce processus.
- La sensibilisation du public sur la nécessité de prendre des mesures préventives pour renforcer les bâtiments et la connaissance des techniques appropriées.
- Les connaissances parmi les constructeurs locaux des techniques pour renforcer les bâtiments. La présence de DWF dans la région pendant une période prolongée a permis aux dirigeants locaux de demander des conseils et l’aide de DWF sur différentes problématiques liées aux catastrophes. Il en va de même pour les membres du gouvernement provincial.
Aspects innovants
- Reconnaître que les logements et bâtiments publics peuvent être renforcés pour résister aux catastrophes naturelles et que cela peut se faire de façon économique et efficace.
- Placer autant l’accent sur la communication que sur les actions techniques, en vue de modifier les comportements à long terme.
- Permettre aux structures locales de mettre en œuvre le programme et les différentes techniques.
- Utiliser des crédits ciblés d’organismes financiers locaux en vue de renforcer les logements.
- Créer le premier et unique site web consacré au contrôle des inondations et tempêtes au Vietnam et partager les informations avec les autorités locales.
Quel est son impact sur l’environnement ?
- Réduction de l’utilisation de matériaux pour les reconstructions lorsque les logements ont été renforcés dans la mesure où ceux-ci ne doivent pas être constamment réparés et reconstruits.
- Réduction de l’utilisation du bois, ce qui implique une réduction de la deforestation.
Viabilité financière
Le financement de ce programme provient de différentes sources, dont seule la moitié se repose sur des bailleurs externes. Les communes locales jouent un rôle de plus en plus important pour soutenir ce travail et on prévoit que les organismes locaux de prêts pourront prendre en charge les crédits nécessaires (voir plus bas).
Le programme réduit les pertes économiques liées aux dégâts ou à la destruction des logements et des bâtiments publics, et permet aux familles de consacrer leurs ressources à des activités génératrices de revenus. Les opportunités d’emploi ont permis d’augmenter les revenus des ménages, notamment de ceux qui ont reçu des formations sur les techniques sûres de constructions. Des formations sont fournies aux constructeurs locaux dans toutes les communautés où le programme DWF est mis en œuvre, en vue d’améliorer la qualité générale des constructions et de renforcer les compétences en matière de construction résistante aux catastrophes, en évaluant les points de vulnérabilité des logements et en améliorant leur résistance. A ce jour, plus de 500 entrepreneurs ont été formés. Ceux-ci travaillent dans des programmes locaux de construction mais travaillent également en tant que conseillers en matière de construction pour les familles de leur communauté. DWF forme également des architectes et ingénieurs locaux de la province. Le renforcement de la sécurité des ports pour les communes situées sur la côte permettent de garantir que les bateaux de pêche qui sont souvent le seul moyen de subsistance des familles ne se perdent pas en mer.
Bien que ce programme n’aborde pas directement la question de l’accessibilité financière, il réduit les coûts des reconstructions, ce qui a un impact non-négligeable sur les finances et le bien-être des ménages, touchant chaque aspect de la vie familiale. On estime qu’une famille moyenne, au fil des ans, investit entre 1.000 et 1.600 dollars en nature ou en espèces pour reconstruire son logement après le passage de cyclones et de tempêtes. Le coût additionnel pour renforcer ces logements varie entre 15 et 30 pour cent en plus des techniques traditionnelles de construction, mais est rapidement récupéré car ces logements ne doivent plus être réparés ou reconstruits régulièrement. Quelques 430 familles ont profité de crédits abordables entre 2001 et 2004. Les familles ont montré vouloir profiter de cette opportunité et ont remboursé ces crédits dans les temps, ce qui a poussé les banques locales à proposer des crédits similaires. Grâce au soutien financier de la Ford Foundation, DWF a négocié avec la Banque de la politique sociale du Vietnam en vue de fournir des crédits à des familles en situation de pauvreté, et pas moins de 480 familles ont déjà bénéficié de ces crédits dans la province de Thua Thiên Hué.
Quel est son impact social ?
Les assemblées villageoises sont impliquées dans la sélection des ménages pouvant être inclus dans le programme. Il importe de considérer le processus comme une décision collective et juste. Les critères incluent la nécessité de reconstruire ou renforcer les logements, la capacité du ménage à contribuer au programme et à financer une partie des travaux, et la volonté de participer au programme.
DWF a collaboré avec les dirigeants locaux pour créer des comités locaux de prévention des dégâts dans chaque commune partenaire de la province de Thua Thiên Hué, et ces comités œuvrent en qualité de partenaires locaux pour la mise en œuvre du programme, en plus de contribuer au renforcement des capacités institutionnelles en vue de développer des plans d’action pour la réduction de la vulnérabilité et de la pauvreté. DWF a également soutenu le développement d’un réseau de prévention des catastrophes qui encourage les communes ayant déjà travaillé sur le programme DWF à aider les autres communes à développer leurs propres plans d’action de prévention des dégâts liés aux catastrophes. DWF promeut la démocratie dans les processus décisionnels locaux en vue de garantir une sélection équitable des familles partenaires et favorise une approche basée sur l’égalité entre les sexes. Parmi les ménages bénéficiant directement du projet, entre 35 et 40 pour cent sont dirigés par des femmes.
DWF travaille au niveau local pour construire des écoles maternelles, offrant aux enfants un accès rapide à l’éducation. DWF souligne le rôle des femmes dans toutes ses activités et travaille beaucoup avec des femmes, dont le rôle et la position dans la société sont promus dans le cadre de ce programme.
Obstacles
- Le scepticisme initial des organismes publics par rapport à la possibilité de renforcer les maisons des personnes en situation de précarité contre les inondations (cet obstacle a été éliminé rapidement lorsque les maisons ont résisté aux premiers typhons).
- Le manque de soutien national pour les familles lorsque des dégâts sont causés ou pour le travail de prévention.
- Les communes allouent de très faibles budgets à la réduction des risques liés aux catastrophes et doivent souvent emprunter pour pouvoir réparer des bâtiments publics endommagés.
- Le coût élevé initial des crédits a été adressé en obtenant des crédits à taux abordables pour le renforcement des logements.
- La pauvreté de certaines familles et la fragilité des logements de certaines familles impliquaient qu’il n’était pas possible de renforcer leurs logements, car il n’y avait pas suffisamment de matériaux durables pour travailler. Dans ces cas, il est nécessaire de reconstruire les logements et DWF alloue une partie de ces fonds au programme public de remplacement temporaire des logements afin de garantir l’application de techniques sûres de construction dans les nouveaux bâtiments pour les personnes à faibles revenus.
Leçons retenues
- Le renforcement préventif des maisons des personnes en situation de pauvreté est viable en termes de coût, de performance et d’acceptabilité sociale.
- La prévention des catastrophes doit commencer au niveau communautaire ; pour que le programme ait un impact important, les familles ont besoin d’une aide financière et technique.
- Si les familles peuvent avoir d’autres priorités dans leur vie (éducation, santé et génération de revenus), elles reconnaissent que le logement est un élément clé pour atteindre leurs priorités et sont dès lors prêtes à investir.
- Les solutions visibles, comme les nervures sur les toits, ne répondaient pas toujours à la valeur accordée par les locaux à l’esthétique espérée, de sorte que les logements des personnes en situation de pauvreté demandaient une qualité architecturale en plus de la qualité technique. La sécurité est importante, mais l’esthétique l’est tout autant.
- Chaque bâtiment a ses propres besoins, points forts et points faibles, et il est important de répondre à ces exigences micro-architecturales.
- L’introduction d’innovations prend du temps, tant pour les bénéficiaires que pour les dirigeants communautaires.
Évaluation
Le programme a été évalué trois fois au niveau externe, tant dans le cadre d’évaluations spécifiques du programme que dans le cadre d’évaluations plus larges des bailleurs. En 2010, une étude d’impact financé par la World Habitat a également été réalisée. Ces évaluations ont conclu que ces mesures étaient rentables, bien gérées et efficaces.
Transfert
Le programme est progressivement adopté par d’autres communes et autorités provinciales du Vietnam. Les communes qui travaillent avec DWF depuis plusieurs années aident les communes qui commencent à s’impliquer dans le programme. Les ménages qui ne sont pas directement impliqués dans le programme adoptent de plus en plus les 10 principes de construction sûre dans leurs propres logements. La performance des maisons renforcées par le programme lors des récentes catastrophes a permis d’encourager le transfert du programme.
DWF fournit des formations à d’autres ONG et gouvernements locaux au Vietnam. Par exemple, les professionnels formés par DWF ont enseigné des techniques sûres de construction à des organisations comme la Croix-Rouge vietnamienne, CARE, Malteser, Compassion International et Save the Children. DWF travaille également avec le programme public national de remplacement temporaire des logements en vue de fournir des conseils techniques par rapport aux principes de construction de logements résistants aux catastrophes.
DWF collabore avec l’Association des villes vietnamiennes en vue de transférer cette approche dans d’autres provinces, et des efforts ont été consentis en 2010 pour obtenir des fonds en vue d’étendre le programme.
Voici des exemples de transfert international de l’approche :
- Banda Aceh, en Indonésie, où après le passage du tsunami en 2005, DWF a développé une stratégie à long terme en matière de logements sûrs pour la Croix-Rouge britannique.
- Dans la région du delta d’Ayerawaddy au Myanmar, après le passage du cyclone Nargis (2008), DWF a développé le programme et renforcé les compétences locales pour appliquer les principes des constructions résistantes aux catastrophes en vue de construire des écoles et des logements en collaboration avec l’organisation Save the Children au Myanmar.
- Plus récemment, après le séisme de janvier 2010 en Haïti, DWF a développé la stratégie et les outils nécessaires pour intégrer la réduction des risques liés aux catastrophes dans la reconstruction de la communauté, en collaboration avec l’organisation Save the Children en Haïti.
CD-ROM disponible …
En 2009, la World Habitat a réalisé une visite d’étude internationale sur ce projet de prévention des dégâts causés par les typhons au Vietnam. Les détails du projet, ainsi que des documents techniques, vidéos, images et perspectives des personnes qui ont participé à la visite, sont maintenant disponible sur CD-ROM. Pour télécharger le contenu du CD, veuillez cliquer ici.